Je n'ai plus trop le temps de lire en ce moment, mais j'ai quand même réussi à finir quelques bouquins... ouf ! ;o)

Amitiés mortelles est un bon polar de Ben Elton, écrivain et scénariste anglais. L'histoire est assez prenante et le héros est plutôt atypique. Ce n'est justement pas un héros au sens propre du terme, mais un flic avec pas mal de soucis. Quelques moments crus parsèment le récit, mais ça se lit tout seul et, perso, jusqu'à la fin je n'ai pas deviné qui était le meurtrier ! ;o)
Des meurtres sordides s'enchaînent à Londres et l'inspecteur Newston enquête avec sa collègue dont il est fou amoureux. Ils découvrent que toutes les victimes avaient comme point commun de brutaliser leur entourage. Au fur et à mesure de l'enquête, les meurtres se rapprochent de lui alors que des souvenirs de son passé remontent à la surface.
Le ton est drôle par moments, l'histoire est bien menée... un polar qui se lit tout seul, sans prise de tête.

Celui-ci, c'est le bouquin que j'ai acheté sans me rendre compte avant d'être à la caisse qu'il avait été écrit par Stephen Fry ;o)) En tout cas, il est très sympa... très très space, mais très sympa. Il est assez difficilé à résumer vu que l'histoire, une uchronie, est assez étrange...

Michael, un étudiant à Cambridge, rencontre un vieux professeur qui insiste pour lire sa thèse sur l'enfance d'Hitler. Obsédé par ce qui est arrivé à Auschwitz, le professeur cherche un moyen de changer l'histoire. A eux deux, ils parviennent à empêcher Hitler de naître et ils changent le destin du XXe siècle.

Alternant les différentes histoires (celle de Michael à Cambridge, la jeunesse d'Hitler pendant la Première Guerre mondiale, les années 20 et 30 sans Hitler, puis l'histoire de Michael dans la nouvelle ligne temporelle), Le faiseur d'histoire est prenant et original. La réflexion est intéressante mais traitée avec beaucoup d'humour... british, cela va de soi ! ;o)

J'ai également fini le dernier tome en date de la nouvelle saga de Robin Hobb, Le soldat chamane. On avance dans l'histoire de Jamère et, même si le tout est toujours assez lent et très descriptif, on se laisse facilement entraîner. Jamère est un personnage attachant, même s'il n'arrive pas au niveau de Fitz, le héros de L'Assassin royal. Ici, la perspective est intéressante puisque Jamère continue à raconter son histoire alors qu'il n'a plus la possession de son corps. C'est son double "magique" qui le contrôle et il n'est présent qu'en simple observateur, même s'il arrive à le manipuler de plus en plus. Je ne sais pas trop où Robin Hobb va nous emmener au final, mais ses histoires continuent à être prenantes et originales.

J'en ai encore quelques-uns à lire... il faut que je m'y mette, ils me tendent les bras !! ;o))

intermède littéraire

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