L'armée des douze singes

En 2035, la grande majorité de l'humanité a été exterminée par un virus. Les survivants sont obligés de vivre sous terre alors que les animaux ont reconquis la surface de la planète. James Cole, un prisonnier, est désigné volontaire pour être renvoyé dans le passé, en 1996, afin de recueillir des informations sur le virus et l'Armée des Douze Singes, suspectée de l'avoir répandu. Renvoyé par erreur en 1990, Cole est pris pour un fou et interné dans un hôpital psychiatrique. Il fait la connaissance du docteur Kathryn Railly et de Jeffrey Goines, fils d'un scientifique fortuné.

L'Armée des Douze Singes est un film assez inclassable et totalement déjanté. J'adore ce côté dément et désespéré, propre à ce type de sujet. Par contre si vous devez vous absenter quelques instants pour aller chercher du popcorn à la cuisine, surtout mettez sur pause, sous peine de ne plus rien comprendre du tout ! ;o)
Les allers-retours entre les différentes époques sont complètement liés et des indices sont donnés constamment pour la suite des événements... autant dire qu'il ne faut rien manquer !

La fin est magnifique... et comme ça finit mal, forcément j'adore !! ;o) Un film à découvrir ou à redécouvrir pour toutes les choses qu'on n'a forcément pas vues la première fois.

Les acteurs sont parfaits dans leur rôle et la mise en scène complètement barrée. Le film nous présente une galerie de personnages originaux et déjantés. Je ne m'en lasse pas même si je connais la chute.

Comments

[eelsoliver]

Un film destabilisant notamment dans sa vision très pessimiste de l'humanité.
A noter que le film s'inspire d'un court métrage, la jetée.

[sheherazade2000]

complexe à suivre et totalement déstabilisant - j'ai vraiment bien aimé

[eelsoliver]

Un film de sf complexe mais une oeuvre grandiose!
L'une de mes références!

[Eirian]

c'est très complexe comme film effectivement, notamment en raison des allers-retours dans le temps.

[noisette27]

Il me semble me rappeler une histoire assez compliquée, qu'on avait intérêt de suivre d'un bout à l'autre, tellement complexe,qu'effectivement il ne fallait pas s'absenter, où on n'était perdu.

Il faudrait que je le revois.